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13 juillet 2012 5 13 /07 /juillet /2012 15:41

BioAlliance Pharma SA, Société d’innovation dédiée au développement de médicaments orphelins en cancérologie et de soins de support, annonce que son partenaire Sosei Co., Ltd vient d’achever l’essai clinique de phase I de Loramyc® au Japon, conformément au plan de développement établi pour enregistrer son médicament dans ce pays.
En mai 2011, BioAlliance Pharma a licencié son médicament Loramyc® au laboratoire Sosei Co. Ltd (filiale du Groupe Sosei) pour un montant global avant royalties de 18.5 millions de dollars, ainsi que la prise en charge du développement jusqu’à l’enregistrement au Japon. Loramyc®, comprimé mucoadhésif de miconazole Lauriad™, est indiqué en Europe et aux USA dans le traitement de la candidose oropharyngée chez les patients immunodéprimés. L’étude clinique de phase I, première étape du développement au Japon, avait pour objectif d’évaluer les paramètres pharmacocinétiques et la tolérance de Loramyc® chez des volontaires sains japonais. Au-delà de confirmer la bonne tolérance de Loramyc®, les données ont également montré une adéquation avec le profil des patients des études précédentes, comme attendu.
Cet essai de phase I, réalisé dans les délais prévus, confirme ainsi que les résultats des études cliniques obtenus en Europe et aux Etats-Unis pourront être utilisés pour les étapes suivantes du développement et de l’enregistrement de Loramyc® au Japon, qui doivent maintenant faire l’objet de discussions avec l’Agence du Médicament Japonaise.

 

Pour plus de renseignement suivez les liens suivants : www.sosei.com.

www.bioalliancepharma.com

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12 juillet 2012 4 12 /07 /juillet /2012 19:32

A Montpellier, le Professeur Florence Leclercq et son équipe ont implanté avec succès un Mitra Clip sur deux patients souffrant d’anomalies de la valve mitrale. Une dizaine d’autres interventions sont programmées dans les mois qui viennent. Le Mitra Clip® permet de corriger les fuites valvulaires importantes et mal tolérées de la valve mitrale sans intervention chirurgicale. Ces valvulopahties perturbent l’écoulement sanguin à l’intérieur du cœur entraînant un essoufflement voire un œdème pulmonaire.

La chirurgie cardiaque à cœur ouvert reste le traitement de référence. Malheureusement, certains patients dont le muscle cardiaque est trop altéré ou qui souffrent de maladies associées ne peuvent bénéficier d’une intervention aussi lourde, estimée trop risquée pour eux. Dans ces cas, il est parfois possible, sous réserve d’une sélection rigoureuse des malades notamment grâce à l’échographie transoesophagienne, d’appliquer le principe du double orifice mitral créé par le Mitra Clip® la technique Mitra Clip®.

Le principe du Mitra Clip® repose sur la création d’un double orifice mitral en forme de 8 qui permet de diminuer la fuite valvulaire tout en préservant l’ouverture de la valve. Ce double orifice est obtenu grâce à un clip, c‘est à dire une petite pince mise en place par voie percutanée, à l’intérieur d’un cathéter orientable introduit par la veine fémorale jusqu’aux cavités cardiaques droites, puis gauches et jusqu'à la valve mitrale.  La procédure est assez longue (entre 2 et 5 heures). Elle se fait sous anesthésie générale et sous contrôle échographique permanent.
Cette technique complexe nécessite une réelle et étroite collaboration entre les cardiologues interventionnels, les échocardiographistes et les chirurgiens cardiaques. Ce partenariat se fait à la fois pour la sélection des patients, la réalisation du geste ainsi que le suivi.

Près de 5 000 patients ont été implantés dans le monde avec des résultats satisfaisants en terme de sécurité pour le malade et d’efficacité pour corriger la fuite valvulaire.

Les deux premiers patients implantés à Montpellier ont eu des suites chirurgicales simples. Cette technique prometteuse s’intègre dans les progrès constants de la cardiologie interventionnelle, dont les résultats pour le traitement des valvulopathies aortiques (remplacement non chirurgical) sont déjà très encourageants.

Pour plus d'information suivez le lien http://www.chu-montpellier.fr

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11 juillet 2012 3 11 /07 /juillet /2012 19:16

IMeBIO, jeune société qui conçoit, développe, fabrique et commercialise des laboratoires mobiles innovants, propose des laboratoires de sécurité microbiologique P2 et P3, destinés à tous les secteurs, et en particulier à celui de la santé, pour étudier et analyser des agents pathogènes, qu’ils soient liés à des risques sanitaires, pandémiques ou de nature bio-terroriste.
 
Si le concept du laboratoire mobile n'est pas novateur, celui proposé par IMeBIO l’est de par sa  conception, totalement guidée par l'ergonomie et de par l’utilisation de matériaux spéciaux qui donnent une longueur d'avance à la gamme de laboratoires proposés par la société.
 
Construit dans un container où l’espace est limité, IMeBIO propose des laboratoires d’environ 25m² dont la conception ergonomique offre : 
-        une hygiène optimale grâce à des cloisons à angles arrondis, assemblées par soudures (pas de joints en silicone), reposant sur la tech­nologie la plus récente en terme de " solid surface "
-        une sécurité maximale par une ingénierie soucieuse des qualités de confinement et de gestion des flux répondant aux normes et réglementations en vigueur (normes ISO 14 644-4 et ISO 14 644-1, règlementation relative à la prévention des risques biologiques et règlementation relative à l’utilisation confinée d’OGM).
-        une maintenance facile et pratique liée d'une part aux matériaux utilisés, et d'autre part à un système de gestion technique centralisée de l’ensemble de l’installation (équipements compris) interrogeable, contrôlable et paramétrable à distance via internet. 
-        une véritable autonomie énergétique (eau, électricité et fluides spéciaux) possible.
-        une mobilité totale (route, mer, air, ferroviaire)

Pour toute information complémentaire suivez le lien http://www.imebio.com/

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9 juillet 2012 1 09 /07 /juillet /2012 19:01

Les hôpitaux de taille importante et qui possèdent une cuisine centrale au sein de leur établissement doivent préparer de manière rigoureuse de nombreux plats, souvent différents pour chaque patient. Le régime spécifique de chaque malade devant être suivi minutieusement et sans erreur, un système d’étiquetage fiable doit être mis en place.

Le Centre Hospitalier Universitaire de Rennes, d’une capacité de deux mille lits, avait la nécessité de changer leur ancien système d’étiquetage des plats individuels, et a donc tout naturellement fait appel à SATO afin d’acquérir une solution globale de remplacement des équipements d’étiquetage existants. La cuisine centrale de l’hôpital, avec ses propres lignes de conditionnement des plats, a l’obligation d’étiqueter correctement chaque barquette individuelle envoyée vers les malades. Les étiquettes doivent comprendre plusieurs champs de texte dont la dénomination du plat avec son code, la date de fabrication, la date d’expiration, la température de conservation et le pays d’origine des aliments.

L’amélioration du système d’étiquetage de l’hôpital a été rendu possible grâce à la technologie d’impression de SATO capable d’offrir une solution complète en intégrant son logiciel LG3 sous réseaux, un Panel PC, un serveur d’étiquetage, les imprimantes de table SATO GL408, et le matériel d’impression-pose automatique COMPACT Lt avec son convoyeur. SATO a pu fournir son système d’impression sur deux lignes de conditionnement différentes, une ligne pour les produits chauds qui sont manipulés à température ambiante, et une ligne pour les plats froids, appelée aussi liaison froide, produits qui doivent être conditionnés à une température de +5°C.

Le logiciel LG3 qui contrôle le pilotage des équipements a offert à l’utilisateur responsable du remplissage des barquettes des avantagesprécieux en terme de flexibilité et de facilité d’utilisation. Grâce à un écran tactile, l’utilisateur peut sélectionner un plat en tapant un code à chiffres dont le nom qui s’y rattache apparaît sur l’écran. Apartir de ce code, toutes les indications du plat apparaissent sur l’écran, ce qui réduit considérablement les erreurs d’étiquetage, l’utilisateur ayant immédiatement le visuel devant lui prêt à être imprimé. En terme de flexibilité, le responsable de la cuisine centrale a la possibilité de modifier le fontage  de son étiquette, c’est-à-dire de changer les champs de texte si nécessaire, cette amélioration apportant alors une plus grande autonomie sur la création et le contenu des étiquettes des barquettes. Ce nouveau système a également permis de personnaliser les étiquettes en apportant une touche plus humaine appréciable en environnement hospitalier. En effet, l’utilisateur peut ajouter une zone de saisie en inscrivant un message à l’attention du malade, comme par exemple  « Bon appétit » ou encore « Joyeux Noël ».

Cette nouvelle solution globale d’étiquetage de SATO a ainsi amélioré de manière significative le service apporté dans la cuisine centrale du CHU deRennes grâce à une plus grande facilité d’utilisation qui s’esttraduite par une diminution des erreurs d’étiquetage, une plus grandeflexibilité au niveau de la saisie des textes à imprimer, et une sélection plus rapide des plats. En effet, les résultats après l’installation du nouvel ensemble d’impression ont montré que la cadence d’étiquetage des barquettes avaient doublé par rapport à l’ancien système. De plus, les bénéfices supplémentaires apportés par la solution d’étiquetage se sont traduits par des coûts de maintenance réduits avec un taux de remplacement des pièces moins fréquent et meilleur marché, ceci grâce au matériel plus fiable utilisé dans les différents éléments de la technologie SATO.

Pour plus d’informations sur les solutions SATO, rendez-vous sur le site www.satoeurope.com/fr.

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6 juillet 2012 5 06 /07 /juillet /2012 20:28

L’ANAP publie trois outils d’autodiagnostic :Autodiag Bloc, Autodiag Urgences et Autodiag Imagerie


L’ANAP publie aujourd’hui sur son site internet trois outils d’autodiagnostic élaborés dans le cadre des projets performance.
Ces outils, accessibles en ligne et soumis à contribution pour l’ensemble de la communauté hospitalière, portent sur l’organisation des blocs opératoires, des services d’urgences et d’imagerie. Ils visent à accompagner les établissements dans leur diagnostic de performance de ces organisations, et facilitent ainsi l’élaboration de plan d’actions adaptés.

 

Des outils construits et éprouvés dans le cadre des projets performance Le programme des projets performance a été initié fin 2009 et concerne aujourd’hui une trentaine d’établissements. Mi-2012, plus de 200 chantiers d’amélioration sont mis en oeuvre dans les établissements engagés. A l’occasion de ces chantiers, l’ANAP a souhaité construire des outils, portant sur une vingtaine de thématiques, mais aussi des retours d’expérience et démarches utiles à tout établissement souhaitant s’engager dans des projets d’amélioration de sa performance. Ces outils sont le résultat d’un travail effectué avec les établissements de santé. Ils sont testés en établissements et partagés avec les professionnels.

 

Trois premiers outils mis à disposition des établissements hospitaliers
• L’outil AUTODIAG BLOC permet d’effectuer un diagnostic complet sur les pratiques organisationnelles et la performance du bloc opératoire, avec une analyse détaillée des blocs opératoire par salle, par spécialité, et par type de vacations, en calculant les indicateurs clés du bloc opératoire (TROS*, TVO*, taux de débordement, etc.) et en analysant l’adéquation ressources / activité par tranche horaire.

• L’outil AUTODIAG URGENCES permet de maitriser et de suivre l’analyse des effectifs présents et nécessaires en fonction de l’heure de la journée mais aussi de comparer des indicateurs clefs par rapport à une base de benchmark composée de 66 services d’urgences, dont le temps de passage aux urgences par type de passage (catégorie d’âge,
examens complémentaires ou non).
• L’outil AUTODIAG IMAGERIE permet d’évaluer et de suivre les indicateurs tels que le taux d’occupation des salles d’imagerie, le taux d’activité des ressources humaines, les délais d’obtention de RdV, les délais de compte rendu et les causes de RdV non honorés.


* TROS : Temps réel d’occupation des salles
* TVO : Temps de vacation offert

Pour plus d'information rendez-vous sur le site de l'ANAP

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5 juillet 2012 4 05 /07 /juillet /2012 20:17

Une Formation  Contraintes et obligations d’alimentation électrique dans les établissements de santé aura lieu le Jeudi 11 Octobre 2012 Au Centre Hospitalier Sainte Anne à Paris.

 

Cette formation est organisée par les  Ingénieurs Hospitaliers de France    

 

Pour tout renseignement, adressez un courrier à Ingénieurs Hospitaliers de France    1 rue CABANIS 75674 PARIS CEDEX 14

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4 juillet 2012 3 04 /07 /juillet /2012 16:59

Guerbet (GBT), spécialiste des produits de contraste pour l’imagerie médicale, inaugure aujourd’hui une nouvelle unité de mise sous forme pharmaceutique sur son principal site de production d’Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis). Le Groupe, qui exporte 72 % de sa production, franchit ainsi une nouvelle étape clé dans sa stratégie d’adaptation de son outil industriel, en vue de renforcer ses positions de leader en imagerie médicale.
Cette inauguration marque l’aboutissement d’un programme ambitieux de modernisation et de spécialisation de ses quatre sites industriels français* entrepris dès 2005 pour augmenter ses capacités de production et accroître sa compétitivité, et qui a représenté un investissement de 197 millions d’euros de 2005 à 2012. A Aulnay, 52 emplois nets ont été créés depuis 2005 et 74 millions d’euros investis. La nouvelle unité de mise sous forme pharmaceutique inaugurée aujourd’hui a fait l’objet d’un investissement de 42 millions d’euros de 2010 à 2012.
D’une capacité annuelle de 20 millions de flacons stériles et 6 millions de poches souples stériles, cette nouvelle unité de près de 10 000 m2 permet à Guerbet de doubler ses capacités de production pharmaceutique en France. Respectant les normes de qualité internationales les plus exigeantes, elle lui permettra d’exporter l’ensemble de ses produits pharmaceutiques vers plus de 70 pays dont les Etats-Unis - où Guerbet prépare le lancement de son produit phare, le Dotarem.
Cette réalisation marque aussi la volonté du Groupe d’assurer la pérennité de son outil et ses emplois industriels en France (70 % de ses produits pharmaceutiques y sont fabriqués). Elle conforte de plus son implantation historique en Ile-de-France, notamment en Seine-Saint-Denis où Guerbet emploie 580 personnes sur 1 000 salariés en France.
Le site d’Aulnay compte 325 collaborateurs en production pharmaceutique et en R&D.

Pour plus d'information http://www.guerbet.fr/

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3 juillet 2012 2 03 /07 /juillet /2012 19:02

3 journées qui ont rassemblé et fédéré tous les acteurs du  handicap,
de la dépendance et de l'accessibilité pour mieux répondre aux préoccupations de... 12 millions de français.
C'est après 3 jours d'intenses activités et de rencontres enrichissantes que le Salon Autonomic Paris a refermé ses portes vendredi 15 juin dernier. Plus de 30.000 visiteurs sont venus à la rencontre de plus de 450 exposants.
Autonomic, espace unique d'informations pour tous les types de handicap et pour l'autonomie des personnes âgées dépendantes confirme une fois de plus l'impact fédérateur de son positionnement.

 

Pour plus d'information suivez le lien http://www.autonomic-expo.com/

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2 juillet 2012 1 02 /07 /juillet /2012 18:22

On dénombre un million de blessures par piqûres d'aiguilles chaque année en Europe, les infirmiers en sont les premières victimes, impliqués dans 48% des accidents : 70% de ces blessures et des expositions accidentelles au sang ne seraient pas déclarées.

 

BD (Becton, Dickinson and Company) est une entreprise d’envergure internationale, spécialisée dans la technologie médicale. Elle développe, fabrique et commercialise des fournitures et du matériel pour le secteur médical, des instruments de laboratoire, des anticorps, des réactifs et des produits de diagnostic par l’intermédiaire de ses trois segments: BD Medical, BD Diagnostics et BD Biosciences.

 

Pour informer sur les enjeux des AES et l’impact de la directive européenne, BD vient de lancer un site internet :
http://www.bd.com/europe/safety/fr/

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29 juin 2012 5 29 /06 /juin /2012 17:49

Dépister la maladie, l'identifier au plus tôt (voire, avant qu'elle ne se développe), établir son diagnostic avec certitude afin de le traiter efficacement, c'est observer à la lettre ce que nous dit le vieil adage frappé au coin du bon sens : « Mieux vaut prévenir que guérir ». Les industriels du diagnostic in vitro (DIV) en ont fait leur raison d'être.

 

L’industrie du DIV, une industrie essentielle et méconnue
Bien moins connus du grand public que ne l'est l'imagerie médicale (IRM et scanners), les industriels du diagnostic in vitro fournissent aux laboratoires de biologie médicale et de Pathologie les tests qui leur permettent de réaliser leurs examens et analyses, à partir d’échantillons prélevés sur le patient, (sang, urine, et autres secrétions, ainsi que tous tissus
d’organes …).
Aujourd'hui, ces tests interviennent dans toutes les étapes cruciales de la maladie. En dépendent : la prévention des maladies (par le dépistage dans les populations à risques), la prédiction (par l’analyse des facteurs prédictifs), l'identification des pathologies (par un diagnostic toujours plus fiable et précoce), la prise en charge et le suivi thérapeutique du patient (par la mesure des paramètres biologiques individuels ou le monitoring).

 

L’industrie du DIV, à la pointe de son domaine
Bien qu’ils ne représentent que 1% des dépenses globales de santé publique, les fournisseurs de diagnostics in vitro (DIV) n'en sont pas moins à la pointe de leur domaine. A la croisée des avancées scientifiques et des innovations technologiques, leurs tests, réactifs, automates et logiciels résultent d'un constant investissement dans la recherche et l'ingénierie. Ils permettent d'obtenir des réponses toujours plus rapides et plus précises, mais aussi d'approfondir la connaissance des marqueurs biologiques, des molécules, apportant des informations toujours plus pertinentes pour le suivi clinique des patients. Cette industrie, soumise à une réglementation drastique, a une obligation de résultat qui ne souffre pas d'approximation : la santé publique en dépend !
En réalité, le diagnostic in vitro (DIV) est partout : 70% des décisions médicales s'appuient sur du DIV. Certaines maladies, telles que le sida, le diabète, et les cancers, ne peuvent pas être détectées autrement que par l'analyse des prélèvements effectués sur le patient.
 

 

Une médecine qui tend à se personnaliser
A l’avenir, grâce à ces techniques, des analyses au niveau moléculaire permettront de conduire à une véritable personnalisation des soins du patient. Le médecin pourra ainsi, adapter grâce à un profil génétique et environnemental précis de chaque patient, les prescriptions et les soins qui en découlent.

Qui plus est, pour améliorer le suivi thérapeutique, les industriels du DIV ont mis au point de nombreux autotests. Le patient est ainsi rendu à la fois plus responsable et plus autonome; il participe lui-même de son traitement.
Dans le domaine de la biologie médicale, l'industrie du DIV améliore sans cesse ces produits et génère de nouvelles approches diagnostiques pour améliorer en continu l'ensemble de la chaîne des soins.

 

Pour plus d'information suivez le lien www.sfrl.fr/

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