Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
30 novembre 2012 5 30 /11 /novembre /2012 18:09

En 1945, la société KARL STORZ, du nom de son fondateur, est créée à Tuttlingen (Allemagne).
Les produits sont alors des lampes frontales, des loupes binoculaires et des instruments destinés aux spécialistes ORL. En 60 ans, présent dans les spécialités médicales les plus variées (urologie, gynécologie, chirurgie digestive, orthopédie mais aussi anesthésie, ORL), KARL STORZ est

devenu le leader mondial en endoscopie.
En 2007, KARL STORZ a révolutionné la documentation endoscopique par l’introduction de la première caméra endoscopique Full HD au monde. En 2012, l’évolution continue avec l’arrivée de la première caméra 3D ultra-légère, ergonomique, entièrement autoclavable et parfaitement adaptée aux interventions de chirurgie avancée.

Capture-d-ecran-2012-11-22-a-18.13.31.png

Le fonctionnement du système 3D…
Une perception précise de la profondeur à l’intérieur du corps humain est essentielle dans le cadre d’interventions endoscopiques. Le système 3D de KARL STORZ garantit une excellente profondeur de champ et assure à l’opérateur une oordination main-oeil tout à fait exceptionnelle. Ce système stéréoscopique ultra-sophistiqué est tout particulièrement utile pour les gestes chirurgicaux nécessitant délicatesse, précision extrême et très bonne perception de l’espace.

 

Le système 3D Storz de classe CF est constitué d’un vidéolaparoscope ergonomique, ultra-léger et autoclavable, compatible Sterris, Sterrad.
La Tipcam®1 3D possède deux capteurs distaux permettant une vision 3D en Haute Définition. Le boîtier de caméra associé permet l’enregistrement d’images et de vidéos en 3D ou 2D. Un écran médical 24 ou 32 ‘’ permet la vision en 3D à l’aide de lunettes passives ultra-légères.

 

Partager cet article
Repost0
11 octobre 2012 4 11 /10 /octobre /2012 19:13


A Marseille, une équipe de l’hôpital Nord conduite par le Pr Marc Barthet, dans le service de gastro-enterologie dirigé par le Pr Jean-Charles Grimaud, a procédé à la reconstruction d’un œsophage par chirurgie endoscopique transluminale en évitant l'ouverture extensive du thorax et de l’abdomen. C’est la première intervention de ce type chez un adulte et un nouvel exploit qui confirme l'avancée française dans le domaine de la chirurgie endoscopique transluminale par les voies naturelles connue aussi sous l’appellation « N.O.T.E.S ». Cette technique est essentiellement expérimentale, quelques procédures ayant été réalisées chez l’homme mais pas au niveau œsophagien. Deux interventions viennent ainsi d’être réalisées en un mois, avec la collaboration de l’équipe de chirurgie digestive du Pr Christian Brunet et ses chirurgiens les Dr Olivier Emungania et Carine Visee, ainsi que pour le deuxième cas, l’équipe de chirurgie ORL du Pr Jean-Pierre Lavieille, avec le Dr Arnaud Deveze.
Cette prouesse médicale a été pratiquée pour le premier cas, sur une patiente strasbourgeoise atteinte d’obésité victime d’une perte de substance de l’œsophage dans les suites d’une chirurgie bariatrique. Elle est la première patiente à avoir bénéficié d’une intervention chirurgicale de ce type. L'opération a duré deux heures trente avec des suites simples puisque la patiente a été en mesure de se réalimenter 4 jours après alors qu’elle ne pouvait plus s’alimenter oralement depuis cinq mois. Elle a quitté le service huit jours après son intervention. La deuxième intervention a été plus lourde encore, nécessitant la reconstruction de toute la hauteur de l’œsophage, et avec un double abord endoscopique digestif et ORL par le Dr Arnaud Deveze, l’intervention ayant duré là aussi deux heures trente.

Dans la plupart des cas, les patients atteints par ce type de pathologies sont opérés par le biais d’une chirurgie traditionnelle durant laquelle un morceau de colon est greffé sur l’œsophage. Moins invasive, la technique endoscopique permet de réaliser des interventions moins longues, de diminuer les traumatismes et ainsi de limiter les complications postopératoires. Le traitement par endoscopie digestive est une alternative à la chirurgie traditionnelle mais très complexe à réaliser au niveau du thorax en raison du risque infectieux majeur, de la diffusion d’air dans le médiastin et la plèvre ainsi que de la proximité des structures cardiaques et de gros vaisseaux. En effet cette approche thérapeutique nécessite un équipement sophistiqué et une maitrise parfaite de gestes, combinant deux approches endoscopiques, un endoscope étant passé par voie orale classique, l’autre à l’envers en remontant depuis l’estomac. Cette technique est nommée « technique du rendez-vous ».
 
Le Pr Marc Barthet, spécialisé dans l’endoscopie digestive et auteur de cette première, a pu mettre au point cette technique grâce aux recherches qu’il conduit depuis plusieurs années au niveau de Centre d'Enseignement et de Recherche Chirurgical (CERC) intégré à la faculté de médecine de l’hôpital Nord. Il est un référent international dans le domaine de la chirurgie endoscopique transluminale (N.O.T.E.S).
 
Jean-Claude Gaudin, Président du Conseil de Surveillance de l’AP-HM, se réjouit du succès de cette équipe de médecins qui illustre l'excellence marseillaise dans une discipline fondamentale et qui met à l'honneur la cité phocéenne. Marseille peut s'enorgueillir de cette réussite qui démontre la qualité innovante de ses équipements, la compétence de son corps médical et le dynamisme de l’AP-HM.
 
En adoptant cette nouvelle technique, l’AP-HM, reconnue au plan national et international comme une référence en chirurgie endoscopique et digestive, démontre sa capacité à constamment développer de nouveaux procédés opératoires, qui, conjugués à l’acquisition d’équipements innovants, permettent d’améliorer la qualité de vie des patients, de diminuer les traumatismes et ainsi de limiter les complications postopératoires.
 

Pour plus de renseignement, suivez- le lien : www.ap-hm.fr
et sur Twitter @aphm_actu

Partager cet article
Repost0
9 octobre 2012 2 09 /10 /octobre /2012 18:38

Sanofi annonce aujourd’hui la publication, dans l’édition d’octobre 2012 du Journal of Clinical Oncology (JCO), des résultats détaillés de l’étude pivot de phase III VELOUR évaluant ZALTRAP® (aflibercept, solution pour perfusion intraveineuse) dans le traitement de patients atteints d’un cancer colorectal métastatique déjà traité.
ZALTRAP est une protéine de fusion recombinante qui se lie au facteur de croissance endothélial vasculaire A (VEGF-A), au VEGF-B et au facteur de croissance placentaire (PlGF). L’étude VELOUR a montré que dans le traitement de patients atteints d’un cancer colorectal métastatique déjà traité par une chimiothérapie à base d’oxaliplatine, ZALTRAP en association avec la chimiothérapie FOLFIRI (5-fluorouracile, leucovorine, irinotécan) améliore de manière statistiquement significative la survie globale, la survie sans progression et le taux global de réponse tumorale par rapport à l’association placebo et FOLFIRI.

La Food and Drug Administration (FDA) des Etats-Unis s’est appuyée sur les données de l’étude VELOUR pour approuver ZALTRAP le 3 août dernier, à l’issue d’une revue prioritaire du dossier.
Aux Etats-Unis, ZALTRAP est approuvé sous la dénomination ziv-aflibercept et est indiqué en association avec une chimiothérapie à base de 5-fluorouracile, leucovorine et irinotécan (FOLFIRI) chez des patients atteints d’un cancer colorectal métastatique résistant ou ayant progressé après une chimiothérapie à base d’oxaliplatine. ZALTRAP est également en cours d’évaluation par l’Agence européenne des médicaments et d’autres organismes de réglementation dans le monde.

 

A propos de l’étude de phase III VELOUR
L’étude VELOUR a montré que chez des patients déjà traités par oxaliplatine, l’ajout de ZALTRAP à une chimiothérapie FOLFIRI améliore significativement la survie médiane, la faisant passer de 12,06 mois à 13,50 mois (HR=0,817, IC à 95 %, 0,714 à 0,935; p=0,0032), soit une réduction du risque relatif de 18 %. Une amélioration significative de la survie sans progression, qui est passée de 4,67 mois à 6,90 mois (HR=0,758, IC à 95%, 0,661 à 0,869 ; p=0,00007), soit une réduction du risque relatif de 24 %, a également été observée. Le taux de réponse global dans le groupe ZALTRAP plus FOLFIRI s’est établi à 19,8 % contre 11,1 % dans le groupe FOLFIRI plus placebo (p=0,0001).
Les événements indésirables les plus fréquents (tous grades confondus, moyennant une incidence supérieure ou égale à 20 %) rapportés avec une incidence supérieure (différence intergroupes supérieure ou égale à 2 %) dans le groupe ZALTRAP FOLFIRI ont été les suivants (par ordre décroissant) : leucopénie, diarrhée, neutropénie, protéinurie, élévation du taux d’ASAT, stomatite, fatigue, thrombocytopénie, élévation des taux d’ALAT, hypertension artérielle, perte de poids, perte d’appétit, épistaxis, douleurs abdominales, dysphonie, élévation de la créatinémie et céphalées.
Les événements indésirables de grade 3-4 (≥ 5 %) rapportés avec une incidence supérieure (différence intergroupes supérieure ou égale à 2 %) dans le groupe ZALTRP-FOLFIRI, étaient les suivants (par ordre décroissant) : neutropénie, diarrhée, hypertension artérielle, leucopénie, stomatite, fatigue, protéinurie et asthénie.
L’étude de phase III VELOUR était un essai clinique multinational, randomisé, en double aveugle comparant la chimiothérapie FOLFIRI en association soit avec ZALTRAP, soit avec un placebo dans le traitement de patients atteints d’un cancer colorectal métastatique. L’étude a randomisé 1 226 patients atteints d’un cancer colorectal métastatique ayant déjà été traités par une chimiothérapie à base d’oxaliplatine. Le critère d’évaluation principal était l’amélioration de la survie globale. Les critères d’évaluation secondaires incluaient la survie sans progression, le taux de réponse globale et la tolérance.

 

A propos de ZALTRAP® (aflibercept)
ZALTRAP est une protéine de fusion recombinante, qui agit comme un récepteur soluble qui se lie au facteur de croissance endothélial vasculaire A (VEGF-A), au VEGF-B ainsi qu’au facteur de croissance placentaire (PIGF). En vertu des modalités de leur accord de collaboration, Sanofi et Regeneron partagent à parts égales les bénéfices générés par ZALTRAP dans le monde, conformément à l’obligation faite à Regeneron de rembourser sa part des coûts de développement.
Aux États-Unis, ZALTRAP est une marque déposée de Regeneron Pharmaceuticals, Inc. A propos du cancer colorectal
Au niveau mondial, le cancer colorectal est le troisième cancer le plus fréquent chez l’homme et le deuxième chez la femme avec plus de 1,2 million de nouveaux cas diagnostiqués en 2008. Le cancer colorectal, l’un des plus meurtriers, a causé plus de 600 000 décès dans le monde pour la seule année 2008.
Selon les estimations de l’American Cancer Society, plus de 143 000 nouveaux cas de cancer colorectal seront diagnostiqués en 2012 aux Etats-Unis et plus de 51 000 personnes en mourront. Environ 60% des cas de cancer colorectal sont diagnostiqués au stade localement avancé ou métastatique. Bien que la survie au stade précoce de la maladie soit relativement élevée, lorsque le cancer se métastase, la survie à cinq ans est estimée à 12%.

 

Pour toute information complémentaire suivez le lien www.sanofi.fr/

Partager cet article
Repost0
26 septembre 2012 3 26 /09 /septembre /2012 19:08

Des examens rendus possibles aujourd’hui avec Aixplorer®
 
 
Aixplorer®, le seul échographe doté de l’Elastographie ShearWaveTM présente des avantages majeurs dans la détection des lésions, le diagnostic et le suivi thérapeutique des maladies hépatiques chroniques, maladies connaissant une forte augmentation : dans le monde, 370 à 400 millions de personnes sont porteuses de l'hépatite B (VHB) et plus de 180 millions de l'hépatite C (VHC) - Source Institut Pasteur[1]. 
 
 
 SuperSonic Imagine, société française d’imagerie médicale, reconnue mondialement pour ses innovations, offre avec la technologie d’Elastographie ShearWaveTM disponible sur l’échographe Aixplorer®, une avancée technologique dans l’échographie hépatique avec une qualité d’image exceptionnelle et une meilleure caractérisation des lésions.
 
« L’Elastographie ShearWaveTM est un examen non-invasif, reproductible et très rapide avec un impact significatif sur la détection des lésions, le diagnostic et le suivi des pathologies hépatiques chroniques. L’Elastographie ShearWaveTM peut notamment s’avérer utile pour valider l’absence de fibrose et diminuer le nombre de biopsies inutiles, parfois sujettes à complications. L’Elastographie ShearWaveTM permet aussi de guider les biopsies pour augmenter la sensibilité des prélèvements » précise le Dr Aymeric Guibal, MD, PhD de l’Hôpital Edouard Herriot à Lyon.
 
Outre l’excellente qualité d’image du foie obtenue avec Aixplorer®, sa technologie d’Elastographie ShearWaveTM mesure en kilopascals la dureté des tissus qui est souvent liée au stade de la fibrose. Ces mesures, visualisées sur cartographie couleur, aident dans la prise de décision d’un traitement antiviral et permettent d’assurer un meilleur suivi thérapeutique des patients.

 
L'Elastographie ShearWave™ dépasse les limites actuelles de l’échographie conventionnelle
 
Alors que l'échographie conventionnelle donne essentiellement des informations morphologiques, l'Elastographie ShearWave™ (SWE™) aide à caractériser la fibrose hépatique et à distinguer les différents stades. Elle offre des avantages décisifs comme la cartographie de la dureté du foie qui détermine les zones les plus dures pour guider le praticien dans ses mesures et d’éventuelles biopsies ou la possibilité de mesurer l’élasticité du foie même dans les cas difficiles d’obésité et d’ascite.

Des études préliminaires ont montré que l’Elastographie ShearWave™ donne des résultats d’évaluation de la fibrose hépatique plus précis que les techniques utilisées actuellement.

 
Vers une diminution des biopsies du foie à répétition chez les patients atteints d’hépatite C
 
La biopsie du foie a toujours été considérée comme la méthode de référence pour évaluer la gravité d'une fibrose du foie dans l'hépatite C chronique. Elle peut être effectuée par voie percutanée ou par voie transveineuse en cas de troubles de l'hémostase. Elle présente néanmoins plusieurs inconvénients (technique invasive associée à une morbidité importante, coûteuse car nécessite une journée d'hospitalisation, diagnostic de fibrose sous-estimé dans 10 à 30 % des cas avec la biopsie percutanée…) et n'est pas idéale pour évaluer régulièrement l'évolution de la pathologie. La progression et la régression de la fibrose du foie sur la durée peuvent revêtir une grande importance clinique.

D’ailleurs pour éviter les biopsies à répétition chez les patients atteints d'hépatite C, la Haute Autorité de Santé (HAS) et le système de santé français ont autorisé l'utilisation et le remboursement des tests non-invasifs permettant de mesurer la dureté du foie et d'évaluer les fibroses à l'aide de techniques basées sur les ondes de cisaillement, telles que l'élastographie transitoire ou l'Elastographie ShearWave™.

Dans un avenir proche, d'autres pays seront sans doute amenés à considérer l'utilisation et le remboursement des techniques basées sur les ondes de cisaillement qui, associées à d'autres méthodes non-invasives comme les biomarqueurs sériques, sont en passe de devenir le principal outil d'évaluation de la dureté du foie.


Illustrations de quatre patients atteints d’hépatite C et présentant différents stades de fibrose hépatique selon le score METAVIR établi par biopsie. Chaque cas est illustré par une seule carte d’élasticité.
 
 SSI-CP-Fibrose-GP_18092012.jpg
 

a) Patient évalué au stade F1 de fibrose du foie, présentant des valeurs d’environ 6,8 kPa à l’Elastographie ShearWave.
 
b) Patient évalué au stade F2 de fibrose du foie, présentant des valeurs d’environ 9,8 kPa à l’Elastographie ShearWave.

c) Patient évalué au stade F3 de fibrose du foie, présentant des valeurs d’environ 11,3 kPa à l’Elastographie ShearWave.

d) Patient évalué au stade F4 de fibrose du foie, présentant des valeurs d’environ 22,3 kPa à l’Elastographie ShearWave.

Partager cet article
Repost0
10 août 2012 5 10 /08 /août /2012 18:40

Luminex Corporation  a annoncé que l'organisme Public Health Wales utilise son dispositif xTAG.

XTag est un panel d'agents pathogènes gastro-intestinaux (GPP) homologué CE qui servira à cet organisme de santé publique gallois lors des activités d'investigation des épidémies, pendant les compétitions olympiques et para-olympiques qui se déroulent au Pays de Galles. Les résultats d'une validation substantielle de diagnostic du test GPP effectué par l'équipe du laboratoire de microbiologie de Public Health Wales, dans l'hôpital universitaire du Pays de Galles à Cardiff, devraient être publiés dans une revue scientifique à comité de lecture.

 

Le panel d'agents pathogènes gastro-intestinaux xTAG de Luminex a obtenu la certification CE en 2011 et représente le test le plus complet de diagnostic des infections gastro-intestinales. xTAG détecte simultanément, en l'espace de 5 à 6 heures, quinze des agents pathogènes les plus courants à l'origine de maladies gastro-intestinales, y compris les infections virales, bactériennes et parasitiques, telles que norovirus, C. difficile et les souches toxigènes E. coli, Campylobacter, Cryptosporidium et Salmonelle. Les innovations dans la technologie des diagnostics, telles que xTag GPP permettent de potentiellement identifier rapidement les épidémies d'infections gastro-intestinales et d'améliorer les soins aux patients.

À propos du panel d'agents pathogènes gastro-intestinaux (GPP) xTAG

xTAG GPP est un test de diarrhée qualitatif moléculaire multiplex conçu pour la détection et l'identification simultanées de multiples agents pathogènes gastro-intestinaux, y compris les bactéries, les virus et les parasites. L'épreuve utilise la technologie xTAG     exclusive de Luminex et la plate-forme de la technologie xMAP® pour détecter de multiples cibles dans un seul échantillon. xTAG GPP permet de détecter les infections hospitalières telles que C. difficile ou norovirus, les agents de maladies d'origine alimentaires comme E. coli or Salmonelle et les causes courantes de diarrhées pédiatriques telles que Rotavirus.

Pour plus d'informations sur Luminex Corporation  veuillez consulter notre site Web sur http://www.luminexcorp.com/.

Partager cet article
Repost0
13 avril 2012 5 13 /04 /avril /2012 19:34

Torax Medical a annoncé aujourd'hui que l’organisme de surveillance des aliments et des médicaments aux États-Unis (Food and Drug Administration - FDA) a agréé le système de gestion de reflux gastro-œsophagien LINX® pour le traitement des patients atteints de reflux gastro-œsophagien pathologique.

Todd Berg, président et PDG de Torax Medical, a déclaré : « Au terme de nombreuses années de développement et d'études cliniques, nous sommes heureux de pouvoir mettre le système LINX à disposition des patients américains souffrant de reflux gastro-œsophagien pathologique. Torax va immédiatement commencer à former le personnel de nouveaux centres aux États-Unis. Nous collaborerons avec les centres médicaux versés dans le traitement du reflux gastro-œsophagien pour en faire des « centres d'excellence » spécialistes du système LINX. Les patients auront accès à la procédure LINX sous 30 jours. »

Le système LINX

Le système LINX est un implant de petite taille composé de perles de titane à noyau magnétique étroitement liées entre elles. L'action magnétique entre les perles renforce la fonction de barrière du sphincter œsophagien et empêche les reflux. Le dispositif est implanté à l'aide d'une procédure laparoscopique mini-invasive conventionnelle.

« L'approbation du système LINX est un grand pas en avant dans le traitement du reflux gastro-œsophagien pathologique. À l'heure actuelle, les alternatives aux médicaments inhibiteurs d'acide sont très limitées pour les patients qui y sont réfractaires. Cette approbation de la FDA est la consécration de plus de 5 ans d'études cliniques, et nous sommes ravis de pouvoir mettre désormais ce traitement à disposition de nos patients », a déclaré le Dr. Santiago Horgan, professeur et directeur de la Division de la chirurgie mini-invasive à l'Université de Californie, située à San Diego.

Le Dr. Tom DeMeester, président du conseil honoraire de chirurgie à l'école de médecine Keck de l'Université de Californie du Sud (USC), a ajouté : « Le reflux gastro-œsophagien pathologique est une maladie grave et évolutive causée principalement par une malformation du sphincter œsophagien inférieur. Je suis admiratif au vu des nombreuses études cliniques dont le système LINX a fait l'objet, qui lui ont valu le soutien unanime pour son approbation par un comité d'étude de la FDA, puis l'homologation par la FDA. Le système LINX est une alternative nécessaire à la procédure chirurgicale actuelle utilisée contre les reflux, la fundoplicature de Nissen, dont les origines remontent à une cinquantaine d'années. »

« Le processus d'approbation du système LINX par la FDA a été minutieux et rigoureux. Nous sommes heureux de pouvoir proposer un dispositif médical innovant qui faisait cruellement défaut aux patients et à leurs prestataires de soins de santé, et qui permet de traiter les symptômes débilitants de cette maladie », a mentionné Timothy Mills, Ph.D., président du conseil d'administration et directeur général de Torax Medical pour Sanderling Ventures.

 

À propos de Torax Medical

Torax Medical, Inc. est une société privée sise à St. Paul dans le Minnesota, spécialisée dans les dispositifs médicaux. Elle développe et commercialise des produits destinés au traitement des dysfonctionnements des sphincters à l'aide de sa plate-forme technologique, Magnetic Sphincter Augmentation (MSA). Torax Medical commercialise actuellement en Europe le système de gestion des reflux LINX pour le traitement du reflux gastro-œsophagien pathologique et le système de restauration de la continence FENIX™ pour le traitement de l'incontinence anale. Ses investisseurs comprennent : Sanderling Ventures, Thomas, McNerney & Partners, Accuitive Medical Ventures, Kaiser Permanente Ventures et Mayo Medical Ventures.

 

Pour de plus amples renseignements, veuillez consulter le site Internet www.toraxmedical.com.

Le texte du communiqué issu d’une traduction ne doit d’aucune manière être considéré comme officiel. La seule version du communiqué qui fasse foi est celle du communiqué dans sa langue d’origine. La traduction devra toujours être confrontée au texte source, qui fera jurisprudence.

 

Source Toraxmedical

Partager cet article
Repost0
6 mars 2012 2 06 /03 /mars /2012 17:42

La SFED, sur son site internet, publie les points forts des journées Européennes de la SFED.

Ces soirées, mises en place sous l'impulsion de Christophe CELLIER, Président de la SFED, avaient pour but de faire une synthèse pratique sur les nouveautés et avancées en endoscopie présentées au congrès européen de Gastro-Entérologie (UEGW) qui s'est tenu fin octobre dernier à Stockholm, où peu de confrères exerçant en France ont pu se rendre.
Quatre réunions ont eu lieu : à Paris le 1er décembre ; à Lille le 1er février sous la responsabilité de Philippe BULOIS ; à Bordeaux le 10 février sous la resp. de Bruno RICHARD-MOLARD et Frank ZERBIB ; à Marseille le 16 février sous la resp. de René LAUGIER et Christian BOUSTIERE.

Pour accéder à ces diaporama, cliquez sur le lien suivant :  

http://www.sfed.org/2011-Soirees-Europeennes/

Partager cet article
Repost0
22 février 2012 3 22 /02 /février /2012 07:59

Nous avons le plaisir de vous informer que l’application JFHOD 2012 pour iPhone est téléchargeable gracieusement dès à présent sur l’App Store.

Vous y trouverez le programme complet, le plan du congrès, la liste des partenaires industriels, les informations pratiques… et prochainement les résumés des communications et posters présentés aux JFHOD 2012.

Les résumés des JFHOD 2012 qui seront en ligne d’ici la fin de la semaine sur le site www.jfhod.com.

Vous pourrez également retrouver le numéro spécial de Capital Equipement Médical, sur le congrès.

 

Dans l’attente du plaisir de vous retrouver du jeudi 15 au dimanche 18 mars prochain à Paris.

Partager cet article
Repost0
9 février 2012 4 09 /02 /février /2012 13:11
Cette 6ème réunion sur la vidéo-capsule s'est tenue le 27 janvier à Paris. Deux grandes thématiques ont été traitées. Premièrement, la vidéo-capsule colique (VCC), qui est une technique diagnostique alternative à la vidéo-coloscopie. Il n'existe pas actuellement d'éléments suffisants permettant de substituer la VCC à la vidéo-coloscopie dans toutes ses indications diagnostiques. Mais plusieurs situations médicales semblent pouvoir relever d'un examen par VCC : 1) vidéo-coloscopie incomplète non liée à la présence d'une sténose organique colo-rectale ou à un défaut de préparation ; 2) co-morbidités sévères contre-indiquant la réalisation d'une vidéo-coloscopie en raison notamment des risques et contre-indications liés à l'anesthésie ; 3) refus de l'examen par vidéo-coloscopie après information du patient des limites de la VCC. Sous l'égide de la SFED en collaboration avec le CREGG, l'Observatoire National de l'Endoscopie Colique par Capsule (ONECC) permet l'emploi de la VCC dans le respect des bonnes pratiques et le recueil des informations épidémiologiques de terrain ainsi que la surveillance des effets secondaires ou complications. Il a été abordé dans une table ronde les aspects pratiques de l'examen par VCC : préparation, méthode de lecture et pièges de lecture. La deuxième thématique était les indications potentielles de la vidéo-capsule (hors indications HAS). Le dépistage des tumeurs de l'intestin grêle par vidéo-capsule a un intérêt particulier au cours du syndrome de Peutz-Jeghers et probablement du syndrome HNPCC. En cas de tumeur carcinoïde du grêle, la vidéo-capsule permet l'évaluation du nombre, du siège et de la localisation des lésions. A l'inverse, il n'y a pas de place pour une exploration par vidéo-capsule au cours de la polypose adénomateuse familiale, en dehors d'une situation d'anémie inexpliquée. Au cours de la maladie cœliaque, la vidéo-capsule du grêle permet la surveillance des patients résistants au régime sans gluten et le diagnostic d'une jéjunite ulcéreuse pouvant correspondre à une sprue réfractaire de type II ou d'un lymphome du grêle. La VCC pourrait enfin avoir un intérêt (examen non invasif) au cours de la colite inflammatoire grave ou en pédiatrie pour la prise en charge des MICI. Cette réunion, qui s'intercale entre le congrès du Club Francophone d'Echoendoscopie et le lendemain la Journée de Réflexion de la SFED, rassemble chaque année un public plus important, témoignant de l'intérêt grandissant des Gastro-Entérologues pour cette technique. Communication SFED
Partager cet article
Repost0
1 février 2012 3 01 /02 /février /2012 09:24

D'après une communication de la Société Française d'Endoscopie Digestive

 

Les difficultés économiques de nos établissements aujourd'hui, sans les ignorer, sont un argument trop facilement opposé pour différer le renouvellement des endoscopes digestifs.

De notre côté, les arguments paraissent indiscutables sur le terrain : sécurité du geste, qualité de l'acte, temps d'attente entre deux examens par manque d'endoscopes, non-remplacement des appareils en réparation, obsolescence de la technologie, …
Même s'il n'y a que peu d'arguments scientifiques pour soutenir une telle demande, on pourra toutefois interpeler la direction sur le risque d'utiliser un endoscope ancien ou sans maintenance adaptée.
Dans l'enquête que nous avons menée auprès des endoscopistes, le secteur privé privilégie une maintenance totale dans 52 % des cas (37 % dans le secteur public) et renouvèle les endoscopes au bout de 3 à 4 ans dans 81 % des cas (50 % dans le public).
Dans cette discussion, l'ingénieur biomédical (IBM) de l'établissement est un acteur important. Il a besoin de notre expertise médicale pour mieux analyser ses outils d'évaluation, qu'il collecte grâce à une GMAO (gestion de la maintenance assistée par ordinateur), notamment par des indices du CNEH (Centre National d'Expertise Hospitalière). Ces indices listent notamment par endoscope : les risques humain, technique et financier mais aussi la durée d'amortissement et les indices du coût de la maintenance.
Pour les IBM, il y a quatre raisons pour renouveler les endoscopes : la durée d'exploitation est dépassée, le risque financier de renouvellement est atteint, la maintenance n'est plus assurée par le fournisseur, le compteur est dépassé (nombre d'examens, nombre d'heures, …).
En conclusion, le coût d'exploitation d'un endoscope ne doit pas excéder deux fois son prix d'achat.

De leur côté, les fabricants ont des politiques de transparence mais aussi d'organisation bien différentes les uns des autres pour communiquer de façon claire, régulière et exhaustive sur cette maintenance auprès des services d'endoscopie.
Les deux paramètres principaux des pannes sont l'usure (action chimique, vieillissement normal, …) et les dommages « non-contestables » (canaux perforés, gaines écrasées, …), qui se répartissent à peu près pour moitié chacun.
Certains fabricants communiquent régulièrement avec leurs clients (au moins une fois par an) à travers un bilan opérationnel de service analysant en particulier avec eux leurs taux de pannes (usure versus dommages), conduisant parfois à des audits sur site en cas de taux de dommages plus importants mais aussi en proposant des diminutions de coût de maintenance en cas de dommages moins importants.
Pour chacun des fabricants, un gastroscope ou un coloscope a une durée de vie moyenne de 2 000 examens ou de 5 ans (les contrats de maintenance totale sont habituellement de 3 à 4 ans et peuvent aller jusqu'à 6 ans).

Ainsi, la direction, munie de ces éléments, complétés des chiffres d'activité, du « benchmarking » des blocs et des arguments médico-technologiques des endoscopistes, devrait être en mesure de faire des choix éclairés, non arbitraires, afin de maintenir un parc d'endoscopes de qualité, en phase avec les évolutions technologiques et les enjeux de santé publique à l'heure du P4Q, comme le taux de détection des adénomes par coloscopie.

Enfin, les fabricants devront pouvoir mettre dès que possible à la disposition des services d'endoscopie et des IBM un accès sécurisé à un compte client, à l'image du suivi personnalisé des comptes bancaires.


   La présentation de Rémi SYSTCHENKO, Responsable de la Commission Plateaux Techniques, Hygiène et Sécurité, dans le cadre de la Journée de Réflexion sur l'Endoscopie Digestive en France du 28 janvier à Paris (PDF, 494 Ko) est sur le lien suivant : http://www.sfed.org/News-Pro/Renouvellement-des-endoscopes-quand-et-comment-le-faire.html

Partager cet article
Repost0

Capital Equipement Médical en quelques mots

Capture d’écran 2013-03-21 à 11.57.03


L'équipe de Capital Publication, soucieuse des attentes des lecteurs  
- des magazines Capital Equipement Médical, Capital Equipement Biomédical,

- de la e-newsletter et

- du site www.capitalmedica.fr ont eu à cœur de proposer à leurs lecteurs un outil de discussion et de partage d'informations au sujet des nouvelles technologies utilisées dans l'univers de la santé.

Recherche

Feuilletez le dernier numéro de Capital Equipement Médical