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4 juillet 2013 4 04 /07 /juillet /2013 16:53

Pour aider les patients chroniques à mieux vivre avec leurs pathologies au quotidien, Orange, expert dans le stockage et la transmission sécurisée de données de santé, déploie actuellement une solution d’accompagnement de patients atteints d’insuffisance cardiaque en Auvergne. Par ailleurs, Orange développe une solution intégrée de télésuivi médical en partenariat avec TELUS Santé, chef de file canadien dans le domaine des télésoins.

Une expérimentation réussie en Auvergne sur la télésurveillance de patients atteints d’insuffisance cardiaque

Dans le cadre du projet Cardiauvergne, Orange, via sa filiale Almerys, a accompagné la conception et le déploiement d'une plateforme de télésurveillance ville/hôpital pour les patients atteints d'insuffisance cardiaque sévère.

La prise de poids est le premier marqueur important de l'insuffisance cardiaque, les patients ayant intégré le réseau Cardiauvergne sont équipés d'une balance électronique communicante qui transmet automatiquement les données via le réseau de téléphonie mobile d'Orange vers la plateforme de télésurveillance. En cas de dépassement des seuils d'alerte établis, la plateforme génère des alarmes et peut déclencher une visite de l’infirmière ou du médecin en vue d’un réajustement rapide du traitement.

Pour le professeur Jean Cassagnes, ancien chef du pôle de cardiologie du CHU de Clermont-Ferrand : « Les deux objectifs majeurs de Cardiauvergne sont de diviser par deux la mortalité des patients insuffisants cardiaque la première année après leur première intervention et de réduire de 50 % la fréquence des hospitalisations, ce qui a pour conséquence directe de réduire les dépenses de santé publique et d’accroître le confort du patient ».

La Télémedecine au coeur des préoccupations stratégiques d’Orange

La télémédecine représente un axe majeur de la stratégie nationale de santé. Orange, 1er opérateur de télécommunications agréé hébergeur de données de santé à caractère personnel par le Ministère en charge de la Santé, vient de nouer un partenariat industriel avec la société canadienne TELUS. La région de Basse-Normandie utilise le logiciel de TELUS depuis plus de 6 ans et ses 8 centres hospitaliers se félicitent aujourd’hui des résultats probants du projet de suivi cardiaque « SCAD » (suivi cardiaque clinique à domicile). L’étude SEDIC (étude prospective, multicentrique, randomisée) réalisée en

Basse-Normandie révèle une diminution significative dans le groupe « télémédecine « du nombre de jours d’hospitalisation pour I’insuffisance cardiaque aiguë. Après 3 mois de suivi éducatif par le SCAD, le pourcentage de patients ré-hospitalisés dans l’année pour insuffisance cardiaque décompensée a été divisé par deux. Les résultats témoignent d’une modification de comportement durable des patients ayant bénéficié de ce suivi interactif par télémédecine.

Aujourd’hui, Orange s’associe donc à TELUS pour s’inspirer de ce modèle de déploiement et le proposer dans d’autres régions en France. La solution s’adresse à tout type de pathologies chroniques ou bien aux personnes âgées suivies à distance et à domicile. Le dispositif déployé au sein des établissements publics et privés, s’appuie sur une infrastructure et une plateforme Orange de gestion des données de santé sécurisés pour la collecte, le transport, le stockage, le traitement et la restitution des données médicales. « Après de nombreuses initiatives en télémédecine concentrées autour la téléconsultation et télé expertise, nous sommes convaincus qu’un nouveau volet va s’ouvrir autour du télésuivi. Avec les dispositifs que nous venons de mettre au point, Orange offre des réponses concrètes et opérationnelles aux besoins, et notamment pour les territoires de santé numériques » précise Thierry Zylberberg, Directeur d’Orange Healthcare, la division santé d’Orange.

Pour plus de renseignement : http://healthcare.orange.com/

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3 juillet 2013 3 03 /07 /juillet /2013 17:44
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3 juillet 2013 3 03 /07 /juillet /2013 17:36

La deuxième édition du WIPR ("Workshop on Innovative Personalized Radioimmunotherapy"), congrès international dédié à la radio-immunothérapie, se déroulera à Nantes du 9 au 12 juillet prochains. On y attend quelque 150 participants venus du monde entier pour faire le point sur les dernières avancées de la spécialité. Avec ce congrès, Nantes se place à la pointe de la médecine nucléaire.

Co-organisé par Subatech, l’Ecole des Mines de Nantes, le Centre de Recherche en Cancérologie

Nantes-Angers, Arronax, le Cancéropôle Grand Ouest et Atlanpole Biotherapies, au travers de son réseau Isotop4life, le workshop réunira des acteurs de toute la chaîne : médecins,

biologistes, chimistes, pharmaciens et aussi industriels. « Notre objectif est de leur permettre d'échanger et de confronter les points de vue de la recherche académique et industrielle » indique Sandrine Huclier, enseignant-chercheur en radiochimie, à l’origine de l'événement.

Accueillie à Nantes, la deuxième édition de ce congrès confirme la place qu'occupe désormais la filière nantaise de médecine nucléaire, en France comme à l'international.

Les sujets d'actualité ne manqueront pas : la production de nouveaux radio-isotopes, leur chimie, l'utilisation d'anticorps ou de peptides, les bénéfices attendus de l'imagerie « multi-modale »...

Ces dernières avancées scientifiques et technologiques sont porteuses de grands progrès pour la médecine personnalisée.

La médecine nucléaire au service d’une médecine toujours plus « personnalisée »

« Depuis plusieurs années, Nantes a su se doter d'un arsenal très complet dans ce domaine, notamment à l'initiative de Jean-François Chatal, l’un des fondateurs du CRCNA longtemps chef de service de médecine nucléaire du CHU de Nantes et de l’ICO, qui a été l'un des pionniers de la radio-immunothérapie dans l'Hexagone », souligne Françoise Kraeber-Bodéré, professeur et actuelle chef du service de médecine nucléaire ("Victoire de la médecine 2009").

La tomographie par émission de positons (TEP) a constitué une avancée majeure pour la cancérologie. Elle permet de mesurer l'activité métabolique d'un organe, en suivant l'évolution et la concentration d'un « traceur » faiblement radioactif injecté au préalable.

« Nous disposons maintenant d'outils très efficaces, tant pour l'imagerie et le diagnostic que pour la thérapie. On peut ainsi voir comment évolue une tumeur, et caractériser le processus en cours, indique Françoise Kraeber-Bodéré. Cela permet de prédire les chances de survie et de guérison du malade. » La caméra TEP est souvent couplée à un scanner à rayons X qui complète l'observation. On parle alors d’imagerie multi-modale permettant de détecter et suivre des tumeurs de petites tailles. En outre, une série de nouveaux traceurs sont en cours d'études et faciliteront le diagnostic. Dans le même temps, côté traitement, de nouveaux médicaments radioactifs, de plus en plus efficaces, ont vu le jour.

« Aujourd'hui, l'idée est d'associer imagerie et traitement, note Françoise Kraeber-Bodéré. On voit comment et à quelle vitesse se distribue le médicament dans l'organe malade, et on adapte le dosage en fonction de ce qu'on observe... Cette association offre des perspectives très prometteuses dans le cas des affections cancéreuses. »

Cette approche s'inscrit dans l'une des tendances fortes de la cancérologie : l'essor de la médecine « personnalisée » qui consiste à proposer à chaque patient une thérapie « ciblée » en fonction de ses caractéristiques génétiques et biologiques, mais aussi en tenant compte de son environnement et de son mode de vie ; une prise en charge qui améliore la performance des soins et évite les effets négatifs, actuellement en plein essor.

Des équipes de recherche mobilisées pour une médecine de pointe à Nantes

Institut spécialisé, laboratoires, cyclotron, filières de formation, PME innovantes… En quelques années, Nantes s’est doté d’un véritable réseau d’expertise dans le domaine de la médecine nucléaire. Cette collaboration d’équipes de disciplines différentes est une des caractéristiques fortes du pôle nantais. Un ensemble qui se situe désormais au meilleur niveau en France et même en Europe.

En l’espèce, pour que les progrès de la médecine nucléaire soient complets, les médecins ont besoin de disposer de radio-éléments toujours plus performants. C'est ici qu'interviennent les physiciens et les chimistes du cyclotron Arronax, le plus puissant d'Europe, et les équipes du laboratoire Subatech (physique subatomique et technologies associées), spécialistes dans la détection des particules autour des grands instruments comme le CERN, qui mettent leur savoirfaire à la conception de nouveaux outils d'imagerie.

Au-delà d’une recherche finalisée sur la production de radionucléides et de radiopharmaceutiques à des fins thérapeutiques et de diagnostic, l’innovation médicale constitue un processus social complexe qui ne saurait dépendre exclusivement de la prouesse scientifique.

Elle couvre des enjeux importants au niveau sociétal, organisationnel et individuel. « Par exemple, se pose la question de la façon dont le patient perçoit et se représente les risques associés à ces nouveaux outils de diagnostic et ces nouvelles solutions thérapeutiques, explique Bénédicte

Geffroy », responsable du département en sciences sociales et de gestion de l’Ecole des Mines de Nantes.

Les congressistes du WIPR auront tout lieu d’approfondir ces questions du 9 au 12 juillet, à la faculté de pharmacie de Nantes.

En savoir plus :

www.mines-nantes.fr/WIPR2013

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2 juillet 2013 2 02 /07 /juillet /2013 18:18
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2 juillet 2013 2 02 /07 /juillet /2013 18:09

Afin de répondre à l'enjeu de santé publique, que représente le phénomène d'Apnée du Sommeil, que le Docteur Gérard Vincent et ses fils, Mathieu et Thibault, ont créé Oniris, première et unique entreprise française à se positionner sur ce marché. Mettant en commun leurs expertises respectives, ils créent un laboratoire en 2008, avant de créer une structure dédiée, Oniris.

S’inspirant des orthèses de laboratoire, sortes d’attelles spécialisées pour les mâchoires, ils mettent au point une version auto-personnalisable et réglable faisant l’objet de plusieurs brevets.

L’action mécanique de l’orthèse permet ainsi de positionner la mâchoire inférieure en avant et de libérer la circulation de l’air dans le pharynx.

Constituée de deux gouttières reliées par des barrettes de différentes longueurs, l’orthèse Oniris est personnalisable, grâce à son procédé thermo-formable, sans l’aide d’un professionnel de santé. Restant en place pendant la nuit grâce à une bonne rétention au niveau des gouttières et grâce à la possibilité d’articulation, l’orthèse est confortable et l’adaptation se fait assez aisément. De plus, l’orthèse reste une solution discrète pour préserver sa vie en collectivité ou en couple…

Avant son lancement, l’orthèse a fait l’objet d’une étude clinique multicentrique* dont les conclusions mettent en avant une mise en œuvre simple permettant une efficacité rapide avec des résultats comparables à ceux obtenus avec des orthèses de laboratoires. De plus, toujours selon cette étude clinique, l’orthèse Oniris peut améliorer l’efficience de la prise en charge de l’Apnée du Sommeil grâce à son coût dans un contexte médico-économique tendu.

L’avancée majeure de l’orthèse Oniris est de proposer une solution simple et efficace aux personnes souffrant d’apnée du sommeil favorisant ainsi son dépistage et sa prise en charge. Avec un prix de vente de 69 euros, elle est la solution adaptée la plus économique.

Créée en 2011 suite aux travaux du Docteur Vincent, Oniris, start-up familiale, met au point, fabrique et commercialise des Orthèse d’Avancée Mandibulaire (OAM), made in France, afin d’apporter une solution simple, économique et efficace aux problématiques liées au ronflement et à l’apnée du sommeil. L’orthèse Oniris a fait l’objet d’une étude clinique validant ses bénéfices et reçoit le soutien d’un comité scientifique regroupant plusieurs grands spécialistes. Déjà 10 000 patients l’ont adoptée !

Oniris est accompagnée par OSeo, en tant que Jeune Entreprise Innovante.

Chiffres clés :

• Un chiffre d’affaires de 1 million d’euros en 2013 (prévision)
• 10 000 patients ont adoptés l’orthèse Oniris.
• Depuis janvier 2013, déjà 5 000 orthèses Oniris ont été vendues. Oniris devient ainsi le premier fabricant d’orthèse en France (Avant l’arrivée d’Oniris sur le marché, seul 5 000 patients étaient traités par an avec des orthèses de laboratoire)
• Déjà disponible sur commande dans 20 000 pharmacies
• 24 salariés

*Bibliographie

Ronflement et SAOS : Efficacité objective et impact d’une orthèse d’avancée mandibulaire innovante – O. Lacaze et M. Marty du Centre de Pneumologie - Perpignan, P. Herman et G. Besnainou du Service de Chirurgie Stomatologie de l’hôpital Bretonneau - Paris et L. Pierrisnard du Service ORL et Chirurgie Maxillo-faciale de l’hôpital Lariboisière – Paris.

Pour plus de renseignement :http://www.oniris-ronflement.fr/

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1 juillet 2013 1 01 /07 /juillet /2013 15:39
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1 juillet 2013 1 01 /07 /juillet /2013 15:33

ll y a tout juste un an au CHRU, un patient bénéficiait pour la première fois en France, du dispositif ENDOBARRIER®. Ce dispositif mini-invasif, concerne les patients souffrant d’obésité modérée pour lesquels il va, sans recours à la chirurgie, apporter une réponse par une perte de poids tout en prévenant le diabète et en corrigeant les lipides. Sept autres patients ont bénéficié depuis de ce nouveau dispositif avec des résultats qui semblent prometteurs. Cette innovation a été sélectionnée dans le cadre de l’appel à projets nationaux STIC (soutien aux techniques innovantes coûteuses ou non).
L’obésité atteint aujourd’hui plus de 14% de la population française. Comme rappelé tout récemment à l’occasion de la Journée Européenne de l’Obésité, notre région paie un lourd tribu à cette pathologie, puisque une personne sur cinq est obèse. Lorsqu’elle est sévère, l’obésité est associée à une mortalité accrue liée notamment aux maladies cardiovasculaires et à certains cancers. Ces risques sont encore supérieurs en présence d’un syndrome métabolique (tel que l’hypertension artérielle ou l’hyperglycémie…).
Le CHRU de Lille, mobilisé dans la prise en charge des patients atteints d’obésité (cf encadré) développe notamment des programmes de soins et de recherche, en lien avec les autres acteurs impliqués, qu’ils soient régionaux ou nationaux. Différentes techniques mini-invasives de traitement sont en cours de développement, dont le dispositif de gaine endoluminale ENDOBARRIER® (GI Dynamics TM, Boston, USA) en cours d’étude depuis mai 2012 au CHRU de Lille.
Les premiers résultats semblent prometteurs, notamment sur le syndrome métabolique. Cette innovation vient d’être sélectionnée dans le cadre de la campagne de Soutien aux Techniques Innovantes Coûteuses ou non (STIC) du Ministère des Affaires Sociales et de la Santé. Le CHRU est promoteur de l’étude ENDOMETAB qui va concerner 174 patients et se déroulera dans les centres intégrés de prise en charge de l’obésité (Lille, Toulouse, Lyon et l’APHP). Dans ce cadre, cette innovation bénificiera d’un financement de 1 166 088 euros.
Le dispositif ENDOBARRIER® est constitué d’une tubulure textile mise en place par voie endoscopique et fixée par des crochets dans la paroi du bulbe duodénal. Cette gaine duodéno-jéjunale s’étend sur 60 centimètres dans l’intestin grêle et limite ainsi le contact des nutriments avec les sucs digestifs.
Le Professeur François Pattou (Service de Chirurgie Endocrinienne, Directeur de l’UMR 859 biothérapie du Diabète et coordonnateur du Centre Intégré de l’Obésité), qui coordonne cette étude, se tient à votre disposition, pour vous expliquer les enjeux de cette innovation pour les patients.

Pour tout renseignement complémentaire : http://www.gidynamics.com/media-press-release.php?id=84

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28 juin 2013 5 28 /06 /juin /2013 11:07
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28 juin 2013 5 28 /06 /juin /2013 11:03

Depuis 2012, Natixis s'engage aux côtés de Gustave Roussy, centre de lutte contre le cancer en Europe, pour soutenir la création et l'installation de trois nouvelles équipes de recherche fondamentale pendant 3 ans. L'équipe du Dr Mehdi Khaled, dont le travail de recherche est ciblé sur le mélanome, est la dernière équipe à bénéficier du soutien de Natixis dans le cadre de ce mécénat.

Le Dr Mehdi Khaled rejoindra Gustave Roussy en juillet 2013 après 7 années passées à Harvard Medical School (Boston, USA). Il dirigera une équipe de recherche qui travaillera sur le thème : « Mélanome et invasion tumorale ».

Le mélanome est un cancer redoutable car il est associé à de grands risques métastatiques. Le projet de recherche de Mehdi Khaled aura pour but d'identifier les gènes responsables du développement des métastases et d'identifier des molécules capables de bloquer l'activité de ces gènes grâce à un criblage à grande échelle. À terme, ses recherches contribueront au développement de traitements anti-métastatiques pour le mélanome, qui n'existent toujours pas aujourd'hui, ainsi qu'à l'amélioration des thérapies existantes.

Le mélanome est une forme grave du cancer de la peau en constante progression. Il concerne chaque année en France 9 700 nouveaux cas et est responsable de 1 600 décès. Détecté à un stade précoce, il peut être guéri. Mais, à un stade métastatique, le pronostic vital est engagé.
Comprendre pourquoi et comment ce cancer se métastase est tout l'enjeu du travail de l'équipe de recherche de Mehdi Khaled.

Dans le cadre du mécénat de Natixis, les deux équipes déjà constituées sont celles du Dr Jean-Luc Perfettini sur la thématique « Morts cellulaires et sénescence » liée à la radiothérapie - annoncée en décembre 2012 - et du Dr Fanny Jaulin qui se concentre sur les causes de formation et de dissémination des métastases du cancer du côlon - annoncée en avril 2013.

À propos de Natixis
Natixis est la banque de financement, de gestion et de services financiers du Groupe BPCE, deuxième acteur bancaire en France avec 21 % des dépôts bancaires et 36 millions de clients à travers ses deux réseaux, Banque Populaire et Caisse d'Epargne. Avec près de 22 000 collaborateurs, Natixis intervient dans trois domaines d'activités dans lesquels elle dispose d'expertises métiers fortes : la Banque de Grande Clientèle, l'Épargne et les Services Financiers Spécialisés. Elle accompagne de manière durable, dans le monde entier, sa clientèle propre d'entreprises, d'institutions financières et d'investisseurs institutionnels et la clientèle de particuliers, professionnels et PME des deux réseaux du Groupe BPCE. Cotée à la Bourse de Paris, elle dispose d'une structure financière solide avec un total de fonds propres Core Tier 1 de 12,5 milliards d'euros, un ratio Core Tier 1 de 9,4 % (Bâle 3 en données pro forma de l'Opération envisagée de cession des CCI, sans mesures transitoires excepté sur les IDA) et des notations long terme de qualité (Standard & Poor's : A / Moody's : A2 / Fitch Ratings : A+). (Chiffres au 31 mars 2013).
Pour plus d'informations : www.natixis.com

À propos de Gustave Roussy
Gustave Roussy, premier centre de lutte contre le cancer en Europe, constitue un pôle d'expertise global contre le cancer entièrement dédié aux patients. Il réunit sur un même site 2 600 professionnels dont les missions sont le soin, la recherche et l'enseignement.
En consacrant près de 20 % de son budget à la recherche, l'Institut affiche clairement sa volonté de promouvoir la recherche comme moteur de l'innovation au bénéfice des patients. Établissement de santé privé d'intérêt collectif, il est habilité à recevoir des dons et legs.
Gustave Roussy en chiffres (en 2012) : 353 lits et 88 places de jour ; 46 000 patients dont 12 000 nouveaux par an ; 1 patient sur 4 participe à un essai clinique (2 813 en 2012) ; 524 patients en essais précoces en phases I/II en 2012 ; 31 essais précoces spécifiques d'un cancer d'organe en 2011 et 450 patients ayant bénéficié d'une analyse moléculaire de leur tumeur ; 300 études cliniques en cours.
Pour plus d'informations : www.gustaveroussy.fr

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27 juin 2013 4 27 /06 /juin /2013 13:14
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